Je t’écris depuis le TGV qui nous emmène à Paris. Il y a moins d’une heure. je me suis glissée dans leur chambre pour déposer un baiser sur leurs fronts avant de prendre ma valise et de fermer la porte. Les enfants doivent être en train de déjeuner maintenant et même si je suis ravie de cette petite pause dans notre routine quotidienne, je ne peux m’empêcher de penser à leurs petites bouilles. Pour Tom et Charles, les séparations sont encore difficiles. Beaucoup de pleurs à chacun de me[...]