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Le désert en famille : notre trek avec Mélodie du Désert

Une aventure pour ralentir et se retrouver

Partir en famille dans le désert, c’est bien plus qu’un voyage.
C’est une expérience humaine, sensorielle, qui nous ramène à l’essentiel.
Et surtout, nous avons redécouvert la présence — la vraie.

Voici le récit de notre trek avec Mélodie du Désert, une aventure pensée pour les familles, où tout est simple, fluide et profondément humain. (Et retrouve des infos tout en bas de l’article après les photos)


De Genève à Marrakech : le début du voyage

Nous sommes partis à six depuis Genève, direction Marrakech.
Nous avions choisi ce trek de la Dune Hurlante, avant que Jules se blesse au genou au foot. Nous avons donc gardé cette base mais raccourci le trek. Mélodie du Désert s’est occupée de tout: transfert, organisation sur place, et trek. Il y a plusieurs trek déjà disponible sur son site mais Karen organise aussi des séjours sur mesure, au cas ou ceux proposés ne te conviendraient pas

Après l’atterrissage, j’avais réservé un taxi pour nous emmener a notre Airbnb en pleine Medina. C’était impressionnant de voir leur manière de conduire, et leur dextérité pour passer dans les petites rues étroites avec un minibus. Mon mari a cru que nous mourions 3 fois.. ahah. Nous avons passé la première nuit dans un Airbnb Riad AYADA (réservé sur booking) à dix minutes de la place Jemaa el-Fna.

Le lendemain matin, à 7h30, nous avions rendez-vous sur cette place mythique au Café de France.
Notre chauffeur nous attendait avec une pancarte « Mélodie du Désert ».


Huit heures de route vers Mhamid El Ghizlane

C’était la partie du voyage qui m’inquiétait le plus : huit heures de route avec quatre enfants. Et d’autres voyageurs. Nous étions dans un minibus pour 18 personnes. Nous avons d’ailleurs fait connaissance avec Véronique, et sa famille qui eux ont réservé pour une semaine de trek . Elle partage son expérience en fin d’article. C’était donc ce qui m’inquiétait le plus mais qui au final s’est très bien déroulé. Le trajet à travers l’Atlas est si diversifié que cela occupe et puis si tu y vas tu vas être surprise dans quel état sont certains villages que tu traverses… On a du mal a croire que nous sommes en 2025.

Le minibus s’arrête régulièrement :
– pour admirer le col du Tizi n’Tichka,
– visiter un atelier de poterie,
– ou déjeuner dans un petit restaurant de route.

Le paysage change à chaque virage. Les enfants, fascinés, observent tout. Bien sur nous avions pris de quoi les occuper. Mais quelques heures de sieste plus tard, nous étions déjà proche de l’arrivée.

L’arrivée au bivouac fixe : un choc visuel

À Mhamid, on change de véhicule : deux 4×4 pick up, nous emmène sur la piste pendant une trentaine de minutes.
Et soudain, tout change : le sable, les dunes, le silence.

Quand nous arrivons au bivouac fixe, le soleil se couche.
Le ciel devient rose, orangé. Les enfants courent, rient, découvrent cet espace infini. On découvre des chambres, des canapés, une balance , un hamam, des WC.

Le dîner se fait dehors, sous les étoiles, tous ensemble à la lumière des bougies
Simple, délicieux, magique.

Et c’est la qu’on apprend avec qui notre séjour aura lieu. Nous serons avec 4 autres adultes , dont deux femmes qui voyagent seules et un couple âgé d’une soixantaine d’année.

Véronique et sa famille ont réservé un voyage sur mesure. Ils marcheront seule avec un autre guide et feront un autre parcours que le notre.

On nous montre brièvement une carte sommaire pour nous indiquer notre parcours. Régis et moi lâchons prise, Nous ne saurons rien de plus.

Ca y est. On y est. Le lâcher prise commence maintenant. Pas d’heure de repas. Pas de durée de marche rien. On se laisse guider.

Nous filons préparer nos affaires pour le lendemain. Nous laissons nos grosses valises à roulettes sur place . Nous les récupérons à notre retour. Nous emportons avec nous que le nécessaire.

Bon plan : achetez vos chèches sur place. Ils coûtent moins cher que dans les souks et vous protègent du soleil et du vent tout au long du séjour.


Jour 1 du trek : premiers pas dans le désert

Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, nous faisons connaissance avec notre guide et les dromadaires. On leur donne notre gros sacs a dos remplis de nos pyjamas, brosse a dent, livres jeux de cartes pour qu’il soit chargé sur le dromadaire.
On nous apprend à garder une distance respectueuse : pas à moins de trois mètres. On remplit nos gourdes. Derniers pipi et brossage de dents dans les wc…

Et puis, on se met en marche. Nous partons pour trois jours sans toilette, sans douche, sans confort moderne.
On réalise qu’on laisse tout derrière soi : les écrans, le bruit, la vitesse, l’eau courante. Je suis excitée et émue.
Le désert nous oblige à ralentir, à écouter, à ressentir.


Marcher, transpirer, s’émerveiller

Les matinées sont douces. Jusqu’à 10 heures, la température est parfaite.
Ensuite, la chaleur monte.
On marche environ quatre à cinq heures par jour, avec une pause à mi-chemin.

Et puis il y a les humeurs — parce que marcher des heures dans le désert, ce n’est pas anodin.
Chez nous, ça oscillait entre :
« C’est incroyable, merci maman, c’est le plus beau voyage de ma vie ! »
et
« C’est trop chaud, qu’est-ce qu’on fait ici ? C’est nul je veux me barrer d’ici »

C’est aussi ça, l’aventure en famille : apprendre à accueillir les émotions de chacun, sans tout contrôler.

Notre guide nous donnera des mandarines, dattes et eau fraîche
Nous avons glisse dans notre sac aussi de quoi remplir le ventre de nos enfants au cas ou cela ne leur plairait pas. Au final tout le monde se contentera de ce qui nous sera proposé. A mon plus grand bonheur. Notre guide nous montrera aussi des restes d’un ancien cimetière. Ce que nous pensions jusqu’à lors être des pierres se révèlent être des restes d’os de cadavres.

L’eau potable est fourni par notre guide et en suffisance. On rempli nos gourdes et on boit beaucoup. On en profite aussi pour enlever le sable qui se glisse dans nos chaussures et pour remettre nos chèches.


L’après-midi et soirée : repos et lâcher-prise

Vers midi et demi, treize , on s’arrête. Après environs 15km de marche.
Les nomades montent les tentes, préparent le repas. Nous, on se repose. Etrange sensation de ne RIEN faire. De pouvoir juste être la. On se couche. On lit.
Les enfants jouent, s’allongent dans le sable, observent.
On mange vers 15 heures, puis l’après-midi s’écoule lentement, dans un calme rare.

Vers 17h, notre guide nous emmenera faire un tour pour reconnaitre des empreintes. On termine la soirée, a regarder notre objectif du lendemain au loin, la dune hurlante. Et a observer le soleil se coucher.

On mange une fois le soleil couché vers 20h . Entre les repas, on nous sert du thé et des cacahuètes. Le feu est prêt et on assiste a la cuisson du pain selon plusieurs techniques.

On passe la soirée a faire connaissance avec les autres personnes qui nous accompagne. Puis on décide de tous s’endormir dehors. A la belle étoile .

Un dernier pipi derrière les dunes avec nos lampes frontales et il temps de fermer les yeux. Tom s’est endormi pendant le repas.


Tempête de sable et fous rires

Le deuxième jour, on se lève on remballe nos affaires, dont nos sacs de couchage. On petit déjeune. Pain, confiture, café, thé miel. Pendant que notre guide et son équipe , range le camp. C’est un spectacle de les voir faire. Les dromadaires sont à côté de nous. Nous sommes justes émerveillés de ce paysage. Tout cela nous parait fou. Mon mari est sous le charme. Et dire qu’il y a 48heures nous étions dans l’agitation de la ville .

Puis on se met en marche. Aujourd’hui on sait un peu plus à quoi s’attendre. On marche a un rythme un peu plus soutenu. Tom et Charles monte a dos de dromadaire pendant une heure chacun. La pause arrive vite. Et les 4h30 de marche aussi. Notre guide cherche un Tamari pour nous mettre à l’ombre pendant qu’ils installe le camp.


Les matelas à peine installées par terre, le vent se lève. C’est agréable car il fait chaud et le vent nous offre un peu d’air. Tom et Charles jouent a construire une cabane dans le sable avec des bouts de bois pendant que nous nous reposons . Le vent souffle de plus en plus fort . Rapidement , on est recouvert de sable.
On a d’abord cherché refuge dans les tentes, pour y jouer et y manger avant de comprendre que c’était pire : chaleur étouffante, sable partout.

Alors on a mis nos chèches, nos masques, nos lunettes de ski… et on est sortis.
Et finalement, c’était magique.
La lumière, le vent, les rires des enfants dans les dunes : un moment suspendu.


La Dune Hurlante : l’ascension

On la voyait depuis la veille, au loin : immense, dorée, presque irréelle. 340 mètres d’altitude. Vers 18h, on part pour l’ascension de la dune hurlante. Une des personnes du groupe reste au camp pour nous attendre avec les Berbères.
Il nous a fallu environ quarante minutes pour la rejoindre. Marcher pieds nus dans les dunes est une expérience que je n’oublierai jamais.
C’est sensoriel, presque méditatif.
Le coucher du soleil s’est caché derrière les nuages, mais le moment était parfait.

Un silence total, une sensation d’infini. Des dunes à pertes de vue.
Et une gratitude immense de partager cela avec mes enfants. Une fois le soleil couché, nous sommes rentrés de nuit a pied.

Le repas nous a été servi à la lumière du feu. Charles s’est amusé a observer une souris qui venait gouter si il y avait quelques chose à manger. Ce fut l’animation de la soirée. Tom s’est à nouveau endormi autour du feu pendant que nous finissions de manger.

Il est 22h lorsque nous mettons en place nos matelas endehors des tentes. Le vent est tombé. Le ciel est plein d’étoiles. Nous nous endormons rapidement.


Le retour

Le dernier matin, le 4×4 est venu nous chercher après le petit déjeuner. Le coeur n’y était pas. Nous aurions voulu continuer encore au moins 24h.
Le retour à Mhamid El Ghizlane se fait au son de la musique et nous sommes tous a la fois contents de retrouver, douche et WC mais a la fois triste de déjà retrouve la civilisation. Nous prenons le repas de midi au bivouac fixe. Réorganisons nos valises, puis il est temps de faire le trajet à l’envers direction Marrakech.

Ce trajet m’a semblé plus long que l’aller — sans doute parce que je n’avais pas envie que ça s’arrête.
Les enfants dormaient, apaisés, le sable encore dans les cheveux, les yeux remplis d’images.
Et moi, je savais déjà qu’on reviendrait.


En conclusion

Ce voyage avec Mélodie du Désert restera l’un des plus beaux de notre vie.
Tout était parfaitement organisé, encadré et, surtout, profondément humain.

Le désert n’est pas seulement un lieu : c’est une rencontre.
Avec soi-même, avec les autres, et avec une autre façon de vivre.

Et si je devais résumer en une phrase :
Les vraies vacances ne sont pas celles où l’on part loin, mais celles où l’on se retrouve.

Je te laisse avec le témoignage de Véronique et l’envie de te dire, de lire tout ce que met Karen de Mélodie du Désert à disposions pour préparer correctement ton séjour. Nous étions heureux d’avoir nos masques de ski pour le vent …

Et retrouve des infos tout en bas de l’article après les photos


Vos questions les plus fréquentes

À partir de quel âge ?
Le trek est possible dès 6 ou 7 ans, selon la maturité de l’enfant. Et nous avons réservé des selles de dromadaire en cas de fatigue. Voir même plus jeune si vous vous sentez à l’aise. Je te recommande de lire le blog de Mélodie du Désert.
Nos plus jeunes ont très bien géré grâce au rythme adapté et aux pauses régulières.

Faut-il être sportif ?
Non. Il n’y a pas de difficulté technique.
Il suffit d’aimer marcher et d’être curieux. Les guides adaptent le rythme, et les enfants s’y font très vite. Et puis les niveaux des trek organisé sont indiqués.

Et côté sécurité ?
Tout est encadré par des professionnels.
Le désert est un lieu sûr, les bivouacs sont bien installés, et l’équipe veille à chaque instant.
Nous n’avons croisé ni serpents ni scorpions, juste beaucoup de vent et de rires.

Le confort ?
Les nuits se passent sous tente, sur des matelas confortables, avec oreillers et couvertures. Et même sac de couchage.
Les repas sont cuisinés sur place, toujours délicieux et copieux.
Il n’y a pas de douche, ni de WC.

Le budget ?
Il varie selon la durée et le type de séjour que tu choisis, ainsi que la période de voyage.Par exemple il y a des séjours dès 195 euro par personne. Je te recommande de regarder sur le site de Mélodie du désert
Tout est inclus : transferts, repas, matériel, accompagnement.
Il suffit de prévoir les vols et quelques extras.

Quelle période choisir ?
Les meilleures saisons sont mars-avril et octobre-novembre.
Les températures y sont douces, les nuits agréables et la lumière incroyable.


Ce que j’ai appris (et que je referai différemment)

– Prendre beaucoup moins d’affaires pour les jours de marches

– Prendre un avion plus tôt pour arriver plus vite à Marrakech et profiter d’un jour sur place avant de partir

– Prendre peut-être un départ depuis Ouarzazate pour éviter ces 8heures de route ( 4h depuis Ouarzazate)
– Laisser davantage porter mes affaires par les dromadaires.
– S’habiller en long, en ample et en léger. – les habits en lin seront tes amis.
– Et surtout, accepter que tout le monde vive le voyage à son rythme.

Pour moi, ce trek a été une véritable leçon de lâcher-prise.
Moi qui aime anticiper, prévoir, tout rendre fluide, j’ai appris à faire confiance : à notre guide, à mes enfants, et à la vie.

À emporter absolument :

– masque ou foulard pour la poussière,
– lunettes de soleil ou de ski,
– crème solaire,
– batterie externe si tu veux filmer ou capturer des moments tout le long du trek
– un livre, un carnet, et rien d’autre.

Astuce vêtements : ne portez pas de legging ni de matière synthétique.
Le lin ou le coton ample sont vos meilleurs alliés.
C’est contre-intuitif, mais dans le désert, il faut se couvrir pour rester au frais.

Témoignage de Véronique :

Véronique et Daniel, les heureux parents de trois adorables bambins, Anna (11 et demi), Louise (9 ans et demi) et Jules (6 ans)

Cela faisait deux ans que je rêvais de partir en trek en famille dans le désert. J’attendais simplement que notre petit dernier soit assez grand pour marcher dans le sable. 

Après quelques recherches sur Internet, je suis tombée sur le site Mélodie du désert qui me paraissait complètement adapté à notre famille. J’ai choisi le trek spécial famille « Les petits aventuriers », un circuit privé de 7 jours et 6 nuits, de niveau facile à intermédiaire.

Après une journée à Marrakech pour s’imprégner de l’ambiance, nous avons pris la route en minibus le lundi 13 octobre, direction le bivouac fixe. Le trajet, qui paraissait interminable au départ, s’est finalement déroulé sans encombre grâce aux pauses régulières le long du parcours.
Nous sommes arrivés au bivouac fixe vers 18h. Quel bonheur de pouvoir enfin enlever nos chaussures et marcher pieds nus dans le sable chaud. Premier coucher du soleil, premières dunes de sable, que du bonheur !

Après cette dernière nuit dans de vrais lits, nous avons pris le départ le mardi matin pour six jours dans le désert, accompagnés de cinq dromadaires, un guide, deux chameliers et un cuisinier.
Le premier jour, un seul dromadaire de selle était disponible pour les enfants, les autres étant bien chargés. Mais au fil des jours, les dromadaires se sont allégés et les enfants ont pu en profiter davantage ; les deux derniers jours, chacun avait même son propre dromadaire !
Notre aînée a bien marché à nos côtés, mais n’hésitait pas à grimper pour se reposer et profiter de la vue. Le petit dernier, lui, marchait entre 30 minutes et 1 heure par jour avant de poursuivre la route perché sur un dromadaire.

Les journées suivaient un rythme apaisant et régulier ; petit-déjeuner pendant le chargement des dromadaires, puis 3h30 à 4h de marche ponctuées d’une pause gourmande à base de dattes et de mandarines. Vers midi, nous installions le bivouac, puis le déjeuner — toujours délicieux — était servi entre 13h30 et 14h. L’après-midi était consacrée au repos, à l’ombre d’un arbre ou dans la tente. En fin de journée, vers 17h, nous repartions pour une courte balade jusqu’aux dunes pour admirer le coucher de soleil vers 19h. De retour au camp, le feu nous attendait déjà : nous assistions à la préparation du pain cuit dans les braises avant de partager le dîner vers 20h. Après un dernier moment à contempler les étoiles et la Voie lactée, tout le monde rejoignait sa tente vers 21h30.

J’avais fait le choix de ne prendre aucun jeu ni livre. Mon idée était de laisser les enfants s’ennuyer un peu… pour stimuler leur créativité. Et cela a parfaitement fonctionné !
Les après-midis sont vite devenus de vrais moments d’invention : théâtre de sable avec des branchages et des cailloux, parcours de mini-golf improvisé, base secrète cachée dans les dunes avec sa sortie de secours… Leur imagination n’avait plus de limites.

Nous avons noué quelques petits contacts avec les Berbères. Même s’ils ne parlaient pas très bien français, grâce à quelques mots et à des gestes, ils ont réussi à nous expliquer certaines choses sur le désert et à nous parler de leur famille. Le plus jeune, âgé de 23 ans, nous a montré un jeu dans le sable — une sorte de morpion — et a joué avec les enfants. Ces derniers sont d’ailleurs allés spontanément vers eux, curieux de découvrir leur manière de cuisiner, ce qui leur a permis de s’ouvrir à une nouvelle culture. 

L’expérience a été au-delà de nos espérances. Nous avons vécu une parenthèse hors du temps, ensemble, sans distraction. Nous avons pris le temps de parler, de marcher, de ralentir, de nous reconnecter à la nature.
Le manque de confort ou de sanitaires ne nous a pas pesé car cela faisait pleinement partie de l’aventure. Même si, bien sûr, la première douche après six jours de désert a été un vrai bonheur !
Les enfants ont adoré dormir sous tente, jouer dans le sable, observer les étoiles et simplement être tous ensemble. Pendant ces quelques jours, nous étions là à 100 % pour eux — et pour nous aussi.

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